Exercice de style : valoriser le scoutisme en se référant à la figure de Baden-Powell

Dans une soirée de rencontre entre mouvements du Scoutisme français du Poitou-Charentes animée par le Cercle Condorcet, une première partie avait consisté à identifier ce qui est partagé et ce qui diffère entre eux quant aux principes et aux valeurs.

Un second temps consistait à préparer en petits groupes, mêlant les Eclaireuses et Eclaireurs de France, les Eclaireuses et Eclaireurs unionistes, les Scouts et Guides de France, un discours valorisant les apports du scoutisme en se référant à la figure de Baden-Powell.

Cet article est une synthèse des discours prononcés.

Georges Baden Powell était un visionnaire. A la fin de sa carrière militaire, il a transformé, selon ses propres termes,  » ce qui était un art d’apprendre aux hommes à faire la guerre en un art d’apprendre aux jeunes à faire la paix « . En ces temps troublés, il importe de rappeler la vertu de son message et de saluer l’universalité du scoutisme qui a su échapper, la plupart du temps, à travers le monde, à l’encadrement des Etats et du Politique. Le scoutisme vit et se développe toujours. Merci Baden, for ever.

Son enseignement amène à vivre en petits groupes, avec les autres, dans la nature, parfois rude, à jouer, même quand on est grand. La vie en équipe, le jeu qui libère des barrières, ouvrent au monde et rendent plus fraternel.

Eprouvé, robuste, le scoutisme s’adapte aux réalités sociales et culturelles en demeurant conforme à ses principes. Les scouts reçoivent et transmettent non seulement la manière d’installer un camp, mais aussi des valeurs, une ouverture pacifique aux autres, une conscience de la nature, une ouverture sur le monde, sur les mondes.

 

« …Regardez le beau côté des choses et non le plus sombre. Essayez de laisser ce monde un peu meilleur qu’il ne l’était quand vous y êtes venus et quand l’heure de la mort approchera, vous pourrez mourir heureux en pensant que vous n’avez pas perdu votre temps et que vous avez fait ‘ de votre mieux ».

(Extrait du dernier message de Baden-Powell…)

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